JEUX OLYMPIQUES RIO
Ils étaient 4 licenciés marnais, a participer aux JO, 3 en athletisme et un au triathlon.
Yohann DINIZ au bout de lui même En tête jusqu’à la mi-course, Yohann a ensuite été handicapé par de graves problèmes gastriques. Deux fois à terre, le marcheur rémois s’est à chaque fois relevé. Il a finalement pris la huitième place du 50 km marche en 3h46’43’’
MARIE GAYOT : (extrait FFA) "La grosse déception est à mettre à l’actif du 4x400 m féminin, qu’on annonçait à la bagarre pour la médaille, derrière les Etats-Unis et la Jamaïque. Mais les Françaises, sixièmes après les prestations de Phara Anacharsis et Brigitte Ntiamoah, n’ont jamais pu recoller aux équipes de tête. Après le relais de Marie Gayot, Floria Gueï, demi-finaliste sur le tour de piste cette semaine, a bien tenté un retour dont elle a le secret. Mais, malgré un 400 m lancé en 49’’76, l’écart était trop grand pour être comblé par la Lyonnaise. Le coup d’arrêt est brutal pour ce collectif, habitué aux honneurs depuis le titre continental à Zurich en 2014. « On était un relais en pleine progression et on voulait terminer cette olympiade en apothéose, soupire Marie Gayot. Ça n’a pas été le cas. » Difficile de trouver, à chaud, des explications à cette contre-performance. « Depuis les Europe, toutes les équipes ont élevé leur niveau, ce que nous n’avons pas réussi à faire, constate toutefois la Picarde. Ce qui est assez compliqué, c’est qu’on n’avait pas couru depuis un mois. On est arrivées dans l’arène sans repères chronométriques, si ce n’est ceux du stage. On était déterminées mais ça n’a pas suffi. »
Mathieu BILODEAU au 50km marche s'est effondré après 40 km suite à un coup de chaleur et a du abandonner.
Vincent LUIS 7e du triathlon, après avoir tenu la troisième place pendant une partie partie de la course. En difficulté dans la dernière partie de la course à pied, le Français a vu plusieurs concurrents le dépasser.
" Les excuses, c'est pour ceux qui n'aiment pas perdre, j'accepte que les autres soient plus forts. Je suis déçu, mais je n'ai pas vraiment de regret ". Les paroles d'un champion
Bravo églement au Rémois Mahiedine MEKHISSI licencié à SOTTEVILLE.
Je suis fier de ne jamais avoir baissé les bras ces derniers mois... Fier surtout d'apporter une troisième médaille à la France en trois Olympiades ! Je n'oublie pas d'où je viens. Merci infiniment pour votre soutien !